Investir dans le talent avec Janssen et Bain & Company

Vous avez déjà pu découvrir sur ce site notre conversation avec Peggy Van Casteren de Janssen Pharmaceutica et Kande Kazadi de Bain & Company. Dans cet article, vous ferez connaissance avec ces deux supporters de TADA et leur vision de la coopération. Ils nous expliquent pourquoi, en tant qu’entreprise, il faut investir dans le talent des jeunes et dans le Bruxelles de demain.

Investir dans notre propre avenir

La Belgique est une économie de la connaissance, dans laquelle le capital humain et le talent jouent un rôle crucial. Pour être à la hauteur d’un avenir ambitieux, nous allons avoir besoin de tous nos talents. C’est pourquoi il est important de ne pas se concentrer uniquement sur la remédiation, mais surtout sur les solutions préventives et l’égalité dans l’éducation. « Après tout, en investissant dans les jeunes, nous investissons dans nos propres employés d’ici 10 ans« , souligne Kande Kazadi.

« Ce n’est pas une question d’être un bon samaritain, c’est une question de nécessité. »

Ensemble, nous pouvons faire la différence

Dans cette vidéo, Kande et Peggy examinent de près la politique de diversité et d’inclusion de leur entreprise. Ils parlent honnêtement de l’état des choses et de leurs ambitions d’avoir un impact positif en tant qu’entreprise, afin que chacun se sente inclus et que l’entreprise soit un reflet fidèle de la société. Tout comme de grandes avancées ont été réalisées en matière d’égalité de genre, ces changemakers veulent également donner plus de chances aux autres groupes sous-représentés.

La responsabilité de chacun

Les deux pionniers prônent également la coopération entre le secteur privé et le secteur public, dans le cadre de laquelle les organisations à but non lucratif, les entreprises et le gouvernement travaillent ensemble pour trouver des solutions.

OPERER UNE SELECTION PARMI UN plus grand nombre de candidats POUR REPERER leS talentS

L’une des initiatives que Kande Kazadi a prises avec TADA pour combattre les préjugés est d’organiser des stages chez Bain & Company pour les jeunes de 18 ans, ce qu’il a également mentionné dans notre premier article.

Bain & Company a une politique de recrutement très stricte et souhaite travailler avec « les meilleurs des meilleurs ». Par conséquent, il est par exemple avantageux pour un futur consultant d’avoir un stage à l’étranger sur son CV, ou d’avoir fait ses études dans une institution renommée. Des activités extrascolaires avec des responsabilités ou une participation à plusieurs programmes d’été sont aussi une preuve d’ambition. Le must: une combinaison de tout ce qui précède.

Seulement… tous les jeunes ne grandissent pas en ayant accès à ce genre d’expériences.

Peut-être y a-t-il la même ambition, la même capacité de leadership et le même esprit orienté « solutions » chez quelqu’un qui n’a pas pu le démontrer dans une formation universitaire. Pour éviter que l’entreprise n’effectue sa sélection que dans un sous-groupe de personnes, Bain & Company offre des stages aux jeunes dans les premières années de leurs études. De cette façon, ils peuvent faire connaissance et recevoir des conseils à l’avance, et ne sont pas exclus d’emblée du système de sélection. De cette manière, ils peuvent, eux aussi, trouver une porte d’entrée dans des entreprises qui sont traditionnellement plus difficiles d’accès.

Vous avez aimé cet article? Curieux de connaître la troisième partie? Avec Kande et Peggy, nous avons parlé des préjugés inconscients.

TADA NETWORKING LUNCHBREAK

Curieux d’en savoir plus? Rejoignez-nous au « TADA networking lunchbreak »: une session en ligne gratuite où l’on échange des inspirations et des idées sur l’inclusion.

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